Statue pierre monolithe 1858 Saint Joseph haut 230 base 58 x 70

12 000,00 €

Le sculpteur Louis Coeffard de Mazerolles

L’association culturelle du canton de Targon, sous le sigle d’ASPECT, publie une monographie communale.

Ce canton, particulièrement dynamique dans l’analyse de son patrimoine, a d́j̀ publí de véritables ouvrages sur Montignac, Ladaux, Soulignac, Baigneaux, Romagne, Saint-Pierre- de-Bat et d’autres, poursuivant une étude systématique des archives locales et des monuments religieux et civils dignes d’int́r̂t....

Or Cantois possède une ancienne maison noble : Mazerolles, l’un des berceaux de la famille de Coiffard, ou de Coeffard, dont le bon sculpteur Louis Andŕ́ est issu. Lequel fit carrière ̀ Bordeaux et dont les œuvres, en pierre, peuvent toujours être admirées. Dès 1613, la famille est mentionnée ̀ Cantois. Elle semble avoir quitt́ l’Entre-deux- Mers vers 1900, pour s’́tablir ̀ Bordeaux. Le sculpteur mourut en 1887, sans avoir contract́ d’alliance. Il fut inhuḿ au cimetière de la Chartreuse ò sa tombe est visible, proche de la place Gaviniès.

Sa maison d’habitation et son atelier existent toujours, et sont visibles dans la rue de Navarre, paroisse Sainte-Eulalie ò se déroula le service funèbre solennel. La maison, au n°11, est toute simple : une façade ̀ trois travées, un étage, l’atelier encore très reconnaissable, bien que devenu garage de réparation de voitures. Il est en pierre, hautement couvert par une charpente en bois très ajourée pour bien faire entrer la lumière, profond. Les arrachements d’une forge se voient toujours. C’était l’endroit ò il affûtait ses outils. Il travaillait la pierre, le marbre également. Le quartier, un peu périphérique ̀ l’époque, devait lui laisser la possibilit́́ de transporter, tailler ̀ grand bruit, recevoir du monde... La rue de Navarre est assez large pour les charrettes.

Louis Andŕ Coeffard de Mazerolles naquit ̀ Arveyres le 24 octobre 1818. Il fut l’élève admiratif de son maitre, Dominique Maggesi, le grand fournisseur de statues d’apparat pour le Palais de Justice, les Quinconces, l’Hôtel de Ville. Le XIXe siècle est l’époque ò l’on sort de l’oubli et célèbre les grandes gloires nationales avec des statues... parfois monumentales. ̀ la fin du siècle ce seront les bronzes pour les squares, les jardins, les promenades, et notamment les colossaux “chevaux des Girondins”. Maggesi admira son talent et il sentit qu’il serait un continuateur dans l’art des portraits et de la statutaire monumentale. Le vieux maitre ń ̀ Carrare en 1801 mourut ̀ Bordeaux en 1892, ò son monument funéraire au cimetière de la Chartreuse est une belle œuvre d’art : un obélisque en marbre de Carrare sur laquelle s’enroule une branche de lierre (5e série bis, n°37). Il eut la douleur de voir disparaitre avant lui son élève.

C’était l’époque ò le cardinal Donnet, archevêque de Bordeaux pendant quarante-cinq ans, réclamait des statues pour les églises, des monuments funéraires ou autres, et il remarqua le talent de Coeffard de Mazerolles qui eut des commandes. Notre sculpteur était un homme modeste tout attach́ ̀ son art, rest́ célibataire. Ne quittant guère Bordeaux, il n’exposa jamais aux salons de Paris, mais tr̀s fidèle ̀ la Société des Amis des Arts il présenta chaque année ses œuvres au salon qu’elle organisait. Il fut par deux fois lauréat de l’Académie de Bordeaux, en devint membre, comme de la société philomathique.

Ses œuvres manifestent souvent un certain air académique, bien dans l’optique du temps, néanmoins il y a de la souplesse dans les attitudes pour d’autres pièces, un désir d’exactitude dans les vêtements et la gestuelle.

Œuvres officielles :

 Fronton du pavillon nord de la Bourse du Commerce figurant la jonction de l’Océan :

(Neptune), et de la Méditerranée : (Vénus callipyge) signifiant la terminaison du canal latéral ̀

la Garonne ;

 Groupe des Belles Lettres en façade de l’ancienne facult́́ , aujourd’hui Musée d’Aquitaine ;

 Nymphe de la fontaine d’Aud̀ge, place Charles Gruet ;

 Muse Euterpe en façade du Grand Théâtre, qu’il fallut refaire ;

 Statue de l’abb́́ de l’Epée, dans l’ancien Institut des Sourdes-muettes de la rue de l’Abb́-de-

l’Epée ;

Parmi ses œuvres religieuses :

• Statue du pape Paul II au pied de la flèche de Saint-Michel ;

• Buste de l’abb́́ Lacombe ̀ la cathédrale Saint-Andŕ́ ;

• Chemin de croix de l’église de Talence ;

• Bas-reliefs des stations du chemin de croix de Verdelais ;

Au cimetière de la Chartreuse, on trouve notamment :

• Stèle funéraire de l’industriel Latour-Blanchard ;

• Visage en médaillon du journaliste Justin Dupuy. Il réalisa aussi des statues en marbre, comme les portraits de Fŕd́ric Bastiat ̀ la Chambre de Commerce, de l’archéologue Félix de Verneilh.

Sa mort subite le 16 mai 1887, ̀ l’âge de 69 ans, fut un deuil pour tous ses amis et les personnages officiels. Le maire, Alfred Daney, ́tait pŕsent aux obs̀ques en l’́glise Sainte-Eulalie avec Ĺo Drouyn, Charles Marionneau, l’architecte Charles Brun, le statuaire Edmond Pŕv̂t qui ́tait son ́l̀ve, les professeurs de l’́cole des beaux-arts, le conservateur du Muśe. ̀ la Chartreuse les discours furent ́mouvants et reconnaissants : celui du professeur de Tŕveret pŕsident de l’Acad́mie, celui de Charles Marionneau arch́ologue, dessinateur et correspondant de l’Institut.

Ainsi la petite commune de Cantois ćĺbrera le souvenir de l’un de ses enfants, tout au moins de l’une de ses anciennes familles et mettra en valeur ce 2 septembre les éléments de son patrimoine qui, comme dans l’Entre-deux-Mers, ne manque pas de pittoresque.

Pierre Coudroy de Lille Socít́ arch́ologique de Bordeaux

ISSN 1638-9859 - 25e anńe. 2,50€ Le Mois scientifique d’Aquitaine - Nuḿro 281/282

Sept-oct 2007.

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Le sculpteur Louis Coeffard de Mazerolles

L’association culturelle du canton de Targon, sous le sigle d’ASPECT, publie une monographie communale.

Ce canton, particulièrement dynamique dans l’analyse de son patrimoine, a d́j̀ publí de véritables ouvrages sur Montignac, Ladaux, Soulignac, Baigneaux, Romagne, Saint-Pierre- de-Bat et d’autres, poursuivant une étude systématique des archives locales et des monuments religieux et civils dignes d’int́r̂t....

Or Cantois possède une ancienne maison noble : Mazerolles, l’un des berceaux de la famille de Coiffard, ou de Coeffard, dont le bon sculpteur Louis Andŕ́ est issu. Lequel fit carrière ̀ Bordeaux et dont les œuvres, en pierre, peuvent toujours être admirées. Dès 1613, la famille est mentionnée ̀ Cantois. Elle semble avoir quitt́ l’Entre-deux- Mers vers 1900, pour s’́tablir ̀ Bordeaux. Le sculpteur mourut en 1887, sans avoir contract́ d’alliance. Il fut inhuḿ au cimetière de la Chartreuse ò sa tombe est visible, proche de la place Gaviniès.

Sa maison d’habitation et son atelier existent toujours, et sont visibles dans la rue de Navarre, paroisse Sainte-Eulalie ò se déroula le service funèbre solennel. La maison, au n°11, est toute simple : une façade ̀ trois travées, un étage, l’atelier encore très reconnaissable, bien que devenu garage de réparation de voitures. Il est en pierre, hautement couvert par une charpente en bois très ajourée pour bien faire entrer la lumière, profond. Les arrachements d’une forge se voient toujours. C’était l’endroit ò il affûtait ses outils. Il travaillait la pierre, le marbre également. Le quartier, un peu périphérique ̀ l’époque, devait lui laisser la possibilit́́ de transporter, tailler ̀ grand bruit, recevoir du monde... La rue de Navarre est assez large pour les charrettes.

Louis Andŕ Coeffard de Mazerolles naquit ̀ Arveyres le 24 octobre 1818. Il fut l’élève admiratif de son maitre, Dominique Maggesi, le grand fournisseur de statues d’apparat pour le Palais de Justice, les Quinconces, l’Hôtel de Ville. Le XIXe siècle est l’époque ò l’on sort de l’oubli et célèbre les grandes gloires nationales avec des statues... parfois monumentales. ̀ la fin du siècle ce seront les bronzes pour les squares, les jardins, les promenades, et notamment les colossaux “chevaux des Girondins”. Maggesi admira son talent et il sentit qu’il serait un continuateur dans l’art des portraits et de la statutaire monumentale. Le vieux maitre ń ̀ Carrare en 1801 mourut ̀ Bordeaux en 1892, ò son monument funéraire au cimetière de la Chartreuse est une belle œuvre d’art : un obélisque en marbre de Carrare sur laquelle s’enroule une branche de lierre (5e série bis, n°37). Il eut la douleur de voir disparaitre avant lui son élève.

C’était l’époque ò le cardinal Donnet, archevêque de Bordeaux pendant quarante-cinq ans, réclamait des statues pour les églises, des monuments funéraires ou autres, et il remarqua le talent de Coeffard de Mazerolles qui eut des commandes. Notre sculpteur était un homme modeste tout attach́ ̀ son art, rest́ célibataire. Ne quittant guère Bordeaux, il n’exposa jamais aux salons de Paris, mais tr̀s fidèle ̀ la Société des Amis des Arts il présenta chaque année ses œuvres au salon qu’elle organisait. Il fut par deux fois lauréat de l’Académie de Bordeaux, en devint membre, comme de la société philomathique.

Ses œuvres manifestent souvent un certain air académique, bien dans l’optique du temps, néanmoins il y a de la souplesse dans les attitudes pour d’autres pièces, un désir d’exactitude dans les vêtements et la gestuelle.

Œuvres officielles :

 Fronton du pavillon nord de la Bourse du Commerce figurant la jonction de l’Océan :

(Neptune), et de la Méditerranée : (Vénus callipyge) signifiant la terminaison du canal latéral ̀

la Garonne ;

 Groupe des Belles Lettres en façade de l’ancienne facult́́ , aujourd’hui Musée d’Aquitaine ;

 Nymphe de la fontaine d’Aud̀ge, place Charles Gruet ;

 Muse Euterpe en façade du Grand Théâtre, qu’il fallut refaire ;

 Statue de l’abb́́ de l’Epée, dans l’ancien Institut des Sourdes-muettes de la rue de l’Abb́-de-

l’Epée ;

Parmi ses œuvres religieuses :

• Statue du pape Paul II au pied de la flèche de Saint-Michel ;

• Buste de l’abb́́ Lacombe ̀ la cathédrale Saint-Andŕ́ ;

• Chemin de croix de l’église de Talence ;

• Bas-reliefs des stations du chemin de croix de Verdelais ;

Au cimetière de la Chartreuse, on trouve notamment :

• Stèle funéraire de l’industriel Latour-Blanchard ;

• Visage en médaillon du journaliste Justin Dupuy. Il réalisa aussi des statues en marbre, comme les portraits de Fŕd́ric Bastiat ̀ la Chambre de Commerce, de l’archéologue Félix de Verneilh.

Sa mort subite le 16 mai 1887, ̀ l’âge de 69 ans, fut un deuil pour tous ses amis et les personnages officiels. Le maire, Alfred Daney, ́tait pŕsent aux obs̀ques en l’́glise Sainte-Eulalie avec Ĺo Drouyn, Charles Marionneau, l’architecte Charles Brun, le statuaire Edmond Pŕv̂t qui ́tait son ́l̀ve, les professeurs de l’́cole des beaux-arts, le conservateur du Muśe. ̀ la Chartreuse les discours furent ́mouvants et reconnaissants : celui du professeur de Tŕveret pŕsident de l’Acad́mie, celui de Charles Marionneau arch́ologue, dessinateur et correspondant de l’Institut.

Ainsi la petite commune de Cantois ćĺbrera le souvenir de l’un de ses enfants, tout au moins de l’une de ses anciennes familles et mettra en valeur ce 2 septembre les éléments de son patrimoine qui, comme dans l’Entre-deux-Mers, ne manque pas de pittoresque.

Pierre Coudroy de Lille Socít́ arch́ologique de Bordeaux

ISSN 1638-9859 - 25e anńe. 2,50€ Le Mois scientifique d’Aquitaine - Nuḿro 281/282

Sept-oct 2007.

Le sculpteur Louis Coeffard de Mazerolles

L’association culturelle du canton de Targon, sous le sigle d’ASPECT, publie une monographie communale.

Ce canton, particulièrement dynamique dans l’analyse de son patrimoine, a d́j̀ publí de véritables ouvrages sur Montignac, Ladaux, Soulignac, Baigneaux, Romagne, Saint-Pierre- de-Bat et d’autres, poursuivant une étude systématique des archives locales et des monuments religieux et civils dignes d’int́r̂t....

Or Cantois possède une ancienne maison noble : Mazerolles, l’un des berceaux de la famille de Coiffard, ou de Coeffard, dont le bon sculpteur Louis Andŕ́ est issu. Lequel fit carrière ̀ Bordeaux et dont les œuvres, en pierre, peuvent toujours être admirées. Dès 1613, la famille est mentionnée ̀ Cantois. Elle semble avoir quitt́ l’Entre-deux- Mers vers 1900, pour s’́tablir ̀ Bordeaux. Le sculpteur mourut en 1887, sans avoir contract́ d’alliance. Il fut inhuḿ au cimetière de la Chartreuse ò sa tombe est visible, proche de la place Gaviniès.

Sa maison d’habitation et son atelier existent toujours, et sont visibles dans la rue de Navarre, paroisse Sainte-Eulalie ò se déroula le service funèbre solennel. La maison, au n°11, est toute simple : une façade ̀ trois travées, un étage, l’atelier encore très reconnaissable, bien que devenu garage de réparation de voitures. Il est en pierre, hautement couvert par une charpente en bois très ajourée pour bien faire entrer la lumière, profond. Les arrachements d’une forge se voient toujours. C’était l’endroit ò il affûtait ses outils. Il travaillait la pierre, le marbre également. Le quartier, un peu périphérique ̀ l’époque, devait lui laisser la possibilit́́ de transporter, tailler ̀ grand bruit, recevoir du monde... La rue de Navarre est assez large pour les charrettes.

Louis Andŕ Coeffard de Mazerolles naquit ̀ Arveyres le 24 octobre 1818. Il fut l’élève admiratif de son maitre, Dominique Maggesi, le grand fournisseur de statues d’apparat pour le Palais de Justice, les Quinconces, l’Hôtel de Ville. Le XIXe siècle est l’époque ò l’on sort de l’oubli et célèbre les grandes gloires nationales avec des statues... parfois monumentales. ̀ la fin du siècle ce seront les bronzes pour les squares, les jardins, les promenades, et notamment les colossaux “chevaux des Girondins”. Maggesi admira son talent et il sentit qu’il serait un continuateur dans l’art des portraits et de la statutaire monumentale. Le vieux maitre ń ̀ Carrare en 1801 mourut ̀ Bordeaux en 1892, ò son monument funéraire au cimetière de la Chartreuse est une belle œuvre d’art : un obélisque en marbre de Carrare sur laquelle s’enroule une branche de lierre (5e série bis, n°37). Il eut la douleur de voir disparaitre avant lui son élève.

C’était l’époque ò le cardinal Donnet, archevêque de Bordeaux pendant quarante-cinq ans, réclamait des statues pour les églises, des monuments funéraires ou autres, et il remarqua le talent de Coeffard de Mazerolles qui eut des commandes. Notre sculpteur était un homme modeste tout attach́ ̀ son art, rest́ célibataire. Ne quittant guère Bordeaux, il n’exposa jamais aux salons de Paris, mais tr̀s fidèle ̀ la Société des Amis des Arts il présenta chaque année ses œuvres au salon qu’elle organisait. Il fut par deux fois lauréat de l’Académie de Bordeaux, en devint membre, comme de la société philomathique.

Ses œuvres manifestent souvent un certain air académique, bien dans l’optique du temps, néanmoins il y a de la souplesse dans les attitudes pour d’autres pièces, un désir d’exactitude dans les vêtements et la gestuelle.

Œuvres officielles :

 Fronton du pavillon nord de la Bourse du Commerce figurant la jonction de l’Océan :

(Neptune), et de la Méditerranée : (Vénus callipyge) signifiant la terminaison du canal latéral ̀

la Garonne ;

 Groupe des Belles Lettres en façade de l’ancienne facult́́ , aujourd’hui Musée d’Aquitaine ;

 Nymphe de la fontaine d’Aud̀ge, place Charles Gruet ;

 Muse Euterpe en façade du Grand Théâtre, qu’il fallut refaire ;

 Statue de l’abb́́ de l’Epée, dans l’ancien Institut des Sourdes-muettes de la rue de l’Abb́-de-

l’Epée ;

Parmi ses œuvres religieuses :

• Statue du pape Paul II au pied de la flèche de Saint-Michel ;

• Buste de l’abb́́ Lacombe ̀ la cathédrale Saint-Andŕ́ ;

• Chemin de croix de l’église de Talence ;

• Bas-reliefs des stations du chemin de croix de Verdelais ;

Au cimetière de la Chartreuse, on trouve notamment :

• Stèle funéraire de l’industriel Latour-Blanchard ;

• Visage en médaillon du journaliste Justin Dupuy. Il réalisa aussi des statues en marbre, comme les portraits de Fŕd́ric Bastiat ̀ la Chambre de Commerce, de l’archéologue Félix de Verneilh.

Sa mort subite le 16 mai 1887, ̀ l’âge de 69 ans, fut un deuil pour tous ses amis et les personnages officiels. Le maire, Alfred Daney, ́tait pŕsent aux obs̀ques en l’́glise Sainte-Eulalie avec Ĺo Drouyn, Charles Marionneau, l’architecte Charles Brun, le statuaire Edmond Pŕv̂t qui ́tait son ́l̀ve, les professeurs de l’́cole des beaux-arts, le conservateur du Muśe. ̀ la Chartreuse les discours furent ́mouvants et reconnaissants : celui du professeur de Tŕveret pŕsident de l’Acad́mie, celui de Charles Marionneau arch́ologue, dessinateur et correspondant de l’Institut.

Ainsi la petite commune de Cantois ćĺbrera le souvenir de l’un de ses enfants, tout au moins de l’une de ses anciennes familles et mettra en valeur ce 2 septembre les éléments de son patrimoine qui, comme dans l’Entre-deux-Mers, ne manque pas de pittoresque.

Pierre Coudroy de Lille Socít́ arch́ologique de Bordeaux

ISSN 1638-9859 - 25e anńe. 2,50€ Le Mois scientifique d’Aquitaine - Nuḿro 281/282

Sept-oct 2007.